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« Une croisière, c’est un chiffre d’affaires de minimum 100 millions de francs en une journée sans compter les retombées financières sur l’artisanat, la restauration, le transport et les secteurs annexes. Encore un coup mortel porté à ce secteur à cause d’une négligence inacceptable. Quelque part, quelqu’un n’a pas fait son travail. Quel gâchis! » s’emporte la Fopits.
Du côté du Port, on se lave les mains de cette histoire. « En réalité le Port ne gère pas les aspects des personnes sur les frontières maritimes », a consenti à nous dire une source portuaire. « Cela dépend directement du ministère de l’intérieur. Et d’ailleurs pour ce faire il faut que le propriétaire du bateau envoie un manifeste au ministère et et le Port n’a jamais reçu notification que des types de bateaux transportant des passagers en croisière puissent accoster à Dakar », ajoute-t-elle.
Mais le Fopits ne décolère pas. Il faut selon l’organisation des professionnels du tourisme, que les ministres de tutelle apprennent à communiquer entre eux.