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Avis du groupe de travail: Avocats et droits de l’hommiste se penchent sur les ”incidences juridiques” à Paris

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Décidément, les souteneurs de Karim Wade ne lâchent  pas prise ! Malgré la confirmation du verdit de la Cour de répression de l’enrichissement illicite(CREI), qui a condamné ce dernier à 6 ans fermes, par la Cour suprême, l’Organisation des Travailleurs et Étudiants Sénégalais de France ( OTESF), proche du fils de l’ancien président de la République, va organiser une conférence internationale portant sur le thème : l’Avis du Groupe de Travail de l’ONU dans l’affaire Karim WADE : Quelles incidences juridiques ?

Cette rencontre, qui aura lieu le samedi 19 septembre 2015 à 15h00 à la Salle MAS 10 rue des terres au curé  75013 Paris, sera animée par  Maître Abdoulaye Tine du barreau de PARIS par ailleurs Professeur de droit pénal international.

Elle verra la participation d’autres personnalités juridiques et d’experts des droit de l’homme, dont le Bâtonnier de l’Ordre des avocats du Barreau de Paris et Conseil de Karim Wade, Pierre Olivier Sur, Me Jean Yves Gontier, avocat au Barreau de Paris et Enseignant à Sciences Po, Me Samba Thiam, avocat au Barreau de Paris, Directeur de l’Institut des Droits de l’Homme et de la Paix de la Faculté de Droit de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar ;Me Assane Dioma N’diaye, avocat au Barreau de Dakar et Président de la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme, Seydi Gassama, Directeur Exécutif d’Amnesty International Sénégal.

Selon le communiqué parvenu à Actusen, la conférence offrira un forum ouvert et universel pour un débat sur le rôle de la justice internationale dans une société démocratique, sur sa contribution à la mise en œuvre des droits de l’homme, ainsi que sur la pertinence des conventions internationales.

Ce qui est sûr, ce panel ne manquera pas piquant.

“M. Karim WADE, a été placé sous mandat de dépôt le 17 avril 2013, le Groupe de Travail a qualifié « sa privation de liberté d’arbitraire » et a recommandé au Gouvernement du Sénégal de « prendre les mesures nécessaires pour remédier au préjudice subi, en prévoyant une réparation intégrale conformément au droit international ».

[Avis No. 4/2015 adopté le 20 avril 2015 par le Groupe de Travail sur la Détention arbitraire du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies].

Actusen

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