Le président Yahyah Jammeh de la Gambie est brandi par eux comme un exemple de persécution, d’acharnement, d’oppression du monde capitaliste occidental qui ne finit pas de faire main basse sur les richesses du continent.
Pour les deux écrivains, c’est parce que le président Yahyah Jammeh n’a pas voulu courber l’échine, que le rouleau compresseur de l’Occident s’est abattu sur lui.
L’ouvrage qui sera bientôt sur les rayons est axé sur le Président Yahyah Jammeh et sur la Sénégambie.
Devant l’impérialisme de l’Occident qui continue de plus belle de s’acharner sur les dirigeants africains opposés à leur volonté, à leur loi et à leur exigence, de la trempe d’un Ahmed Sékou Touré, d’un Thomas Sankara, d’un Moammar Khadafi et aujourd’hui de Yahyah Jammeh traité dans la boue, les deux écrivains panafricanistes prennent ainsi fait et cause pour la défense de ce dernier. Pour l’asphyxier, l’Occident a même usé d’embargo économique contre la Gambie.
Il faut dire que dans leur stratégie de destruction et de liquidation systématique du président gambien, les capitalistes n’ont jamais manqué d’embobiner des entités comme certaines associations de droits de l’homme, des lobbies et «opposants», pour décrédibiliser et rendre impopulaire leur cible.
Les deux écrivains se sont levés pour porter le combat contre l’humiliation, la stigmatisation des dirigeants africains et du président Yahyah Jammeh.
Pour eux, l’Occident reste un modèle parfait de barbarie et de sociétés antidémocratiques.
Les deux panafricanistes invitent d’autre part, à la consolidation des relations séculaires entre le Sénégal et la Gambie. D’après MM.
Thioune et Nda, les deux pays qui ont été balkanisés par le colonisateur, sont condamnés à vivre dans la paix, l’entente, l’harmonie, d’une manière éternelle.
Les États- unis d’Afrique et la Cedeao commencent d’abord pour eux par la Sénégambie.