Pour M. Koné, il s’agit de faire évoluer notre dispositif judiciaire en tenant compte de la réalité.
Les autorités ivoiriennes ont par ailleurs convenu de la suppression des dispositions prescriptives de l’action publique en matière de crimes contre l’humanité.
La Côte d’Ivoire s’est engagée depuis plusieurs mois à opérer des réformes dans le domaine judiciaire.
Cameroonvoice