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Pis, dans son communiqué qui relève de toc pur et dur, le maire de Touba, visiblement, dépassé par la tournure du rassemblement spontané, reproche à SourceA d’avoir dit que c’est à la Municipalité de réparer le Canal d’évacuation des eaux.
Or, non seulement au moment de diffuser hier son communiqué bidon, le maire ignorait que l’édition de SourceA de ce matin que vous tenez entre vos mains, n’était même pas encore allée à l’imprimerie. Mais également, votre canard
En un mot comme en mille, incapable de trouver la clé à ses errements, Abdou Lahat Kâ, que SourceA a, pourtant, tenté de joindre (ce qui n’était même pas nécessaire), pour lui permettre de réagir au trop-plein de frustrations des populations impactées par son Canal, veut faire de votre journal son souffre-douleur.
Alors qu’il ferait mieux de s’occuper de la furie des populations impactées par le tracé du Canal, dont les eaux pluviales envahissent les maisons.
Mais puisque le maire de Touba refuse de regarder la réalité en face (les sinistrés ont battu le macadam, instantanément, ce mardi, aux environs de 12heures, afin d’exiger la réparation de cette injustice dans un délai de 72 heures), son réveil risque d’être brutal.
Si, évidemment, les frustrés, qui ne veulent même plus entendre parler d’Abdou Lahat Ka, mettent à exécution leur menace de démolir le Canal d’évacuation des eaux.
En attendant, SourceA met en garde contre toute atteinte à l’intégrité physique de son Correspondant et exige de l’Etat de prendre toutes ses responsabilités, afin que rien n’arrive à Mor Mbaye Cissé, son Correspondant permanent à Mbacké.
LA REDACTION