});
Besoin factuel d’une purification et d’un « NDEUP généralisé » de la presse Sénégalaise dans tous ses compartiments. Le chantage, le prosélytisme et le « BASHING » systématique exercés sur la personne de CHEIKH AMAR doivent cesser immédiatement, puisque injustes et injustifiés. Une presse comme celle de SOULEYMANE JULES DIOP est à bannir définitivement au Sénégal.
Force est de savoir que la majorité de nos concitoyens n’ose plus consulter un journal, ni visualiser une télévision Sénégalaise. Pour la bonne et simple raison que le niveau de la presse Sénégalaise est devenu de nos jours très bas et souffreteux. L’un des pères fondateur du journalisme THEOPHRASTE RENAUDOT doit certainement s’indigner au fin fond de sa tombe en entendant les ragots et commérages qui secouent la presse Sénégalaise. La presse Sénégalaise est atteinte de plusieurs maladies que je surnomme volontiers « les chocs » : le choc de la manipulation, le choc de la corruption, le choc du mensonge, le choc de la méchanceté, le choc des commérages, le choc des ragots, le choc de la calomnie, le choc de la diffamation, le choc du chantage, oust ! J’en passe !
Face à ces chocs, le Sénégal ne pourra point connaitre l’émergence tant voulue par le Président de la République Monsieur MACKY SALL (un pays vaut souvent ce que vaut sa presse, cette dernière doit élever ce pays en élevant son langage). La presse Sénégalaise est devenue un fourre-tout, je dirais même plus qu’un « LAMB DJOU TASS », où l’on met n’importe quoi, n’importe où et n’importe comment. Le besoin d’un « FACT CHECKING » est primordial pour une presse de qualité souhaitant gagner la confiance de ses lecteurs. Une presse digne de ce nom doit impérativement s’inscrire dans une propension à éveiller, éclairer, élever le niveau du débat et surtout conscientiser les populations. En effet, il me semble opportun que ces méthodes (les chocs) à l’ancienne disparaissent et que l’on assiste enfin à une purification et un « NDEUP généralisé » de la presse Sénégalaise. Pour cela, il faudrait adopter cette triade : une indépendance, une éthique de responsabilité et une transparence au niveau de la presse Sénégalaise.
In fine, le mot d’ordre pour la presse doit être cette phrase qui résume le journalisme : Un journaliste n’est pas un enfant de chœur, ni un « NAFEKH », son métier n’est pas de faire plaisir, ni de faire du tort, au contraire il est de planter la plume dans la plaie.
En somme, « Entre CHEIKH AMAR qui participe au développement du Sénégal et SOULEYMANE JULES DIOP qui symbolise une presse des commérages et les ragots, je choisirais volontiers CHEIKH AMAR et le développement du Sénégal »
A bon entendeur salut !
NGOM EL HADJI ABASSE
Diplômé en master de science politique à la faculté de droit et de science politique de Montpellier (France).mail : alajiass@live.fr