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« Cet aveu est un pas vers la vérité, mais n’éteint pas le débat, le montant de 800 milliards ne couvre que les 38km de la première phase portant sur la distance Dakar-Diamniadio.
D’après lui, il ne couvre pas le coût des travaux conditionnels assujettis à la notification de la disponibilité des crédits aux entrepreneurs, ni le coût de l’étude d’impact environnemental et social, prévue dans le rapport de la BAD, pour évaluer les autres conséquences du projet de nature sociale et économique, tels que la sécurité des populations et la perturbation des échanges entre communes qu’entraînera la construction de murs de clôture le long des voies.
« Au delà, cet aveu sonne grave quant à la crédibilité et la sincérité du budget, car jusqu’à présent, c’est le montant de 568 milliards qui est inscrit dans le budget et sur le Plan Triennal d’investissement Public 2018-2020 », laisse-t-il entendre.